R E F L E C T I O N E S


Origens das formas de sociedades

Like the winds, that come we know not whence, and blow whithersoever they list, the forms of society are derived from an obscure and distant origin; they arise, long before the date of philosophy, from the instincts, not from the speculations, of men. […] Every step and every movement of the multitude, even in what are termed enlightened ages, are made with equal blindness to the future; and nations stumble upon establishments, which are indeed the result of human action, but not of human design. Adam Ferguson, An Essay on the History of Civil Society, Kincaid and Bell, 1767, 187.

Comme les vents, qui viennent, nous ne savons d'où, et ils soufflent partout où ils sont énumérés, les formes de la société dérivent d'une origine obscure et lointaine; ils surgissent, bien avant la date de la philosophie, des instincts et non des spéculations des hommes. [...] Chaque pas et chaque mouvement de la multitude, même dans ce qu'on appelle les âges éclairés, sont faits avec un aveuglement égal à l'avenir; et les nations trébucher sur des établissements, qui sont en effet le résultat de l'action humaine, mais pas de but humain. (notre traduction)

Como los vientos, que llegan no sabemos de dónde, y soplan donde quieran, las formas de la sociedad derivan de un origen oscuro y distante; surgen, mucho antes de la fecha de la filosofía, de los instintos, no de las especulaciones, de los hombres. [...] Cada paso y cada movimiento de la multitud, incluso en lo que se denomina edades iluminadas, se hacen con la misma ceguera al futuro; y las naciones tropiezan con establecimientos, que de hecho son el resultado de la acción humana, pero no del propósito humano. (nuestra traducción)

Nenhum comentário: